25.9.09

Pensée

On apprend la mort d’une autre personnalité. Tous les jours, des centaines de personnes s’éteignent aussi sans qu’on entende leur dernier souffle.

Je bois un café au goût de mort. Noir, court, fort. Vite. Je viens de l’échapper… est-ce que je viens d’échapper la mort?

C’est pourtant inévitable. Mais penser à l’inévitable, ça tue.

Un soleil comme aujourd’hui fait entrer l’espoir dans la lumière.

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